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La Diamanterie ou les vacances d’une fille bancale

Pour cet été, c’est cuit ! Pas le choix ! Pénélope est envoyée chez son oncle et sa tante, dans un trou perdu, où elle aura pour seuls compagnons son cousin borné et sa cousine folle de fringues, de maquillage et de garçons.

L’horreur ! Mais elle n’a prévu ni la rencontre avec le charmant Dylan, ni celle avec l’étrange Maya !

« Un joli roman, très agréable à lire, sur l’acceptation de soi et sur les différences qui enrichissent. Un récit tout en douceur qui aborde le passage entre l’enfance et l’adolescence.
Beaucoup d’amour, qui s’exprime de différentes façons, entre les personnages tous très attachants dans leur manière d’être. » (Nantes Livres Jeunes)

« C’est un très beau livre, tout en simplicité, en tendresse, en humour, en drôlerie, en chaleur humaine. Il parle joliment d’adolescence, de la fragilité de cet âge de la vie où chaque seconde vécue peut constituer une remise en question primordiale. Il parle aussi d’amitié, d’amour, d’art, de différence. » (P’tits cannibales lecteurs)

« J’ai passé un super bon moment (trop court) en compagnie de Pénélope. A la dernière page j’aurai voulu que ça se prolonge, j’avais le sentiment d’avoir perdu une amie. » (une lectrice)

 

 

 

C’est un livre des temps modernes, qui ressemble à la vie d’une adolescente .

Une maman solo, qui se galère avec 2 emplois pour joindre les deux bouts .

Elle décide d’envoyer sa fille Pénélope, à la montagne, chez son oncle et sa tante .

La jeune fille n’est pas du tout emballée par l’idée de les retrouver, ni même son cousin et sa cousine .

Le premier jour, elle décide d’aller marcher pour échapper à l’ambiance de la maison, mais elle se perd .

Heureusement, elle tombe sur une drôle de maison, genre hantée, et un jeune garçon qui la guide .

 

 

Il s’appelle Dylan, et il s’avère qu’elle retombe sur lui lors de sa sortie au lac avec ses cousins .Elle a peur qu’il raconte tout, mais il ne dira rien .

 

 

Ce que j’aime dans ce livre, c’est qu’on retrouve Pénélope, une ado, à laquelle beaucoup de jeunes pourront s’identifier : manque de confiance en elle, complexée…

 

 

Petit, à petit, on apprend ainsi à s’aimer, s’accepter tel qu’on est, et même à voir le meilleur en nous .

Et c’est vraiment ce que ce livre nous renvoie .

196 pages

Format : 14 cm x 20 cm

9/12 ans

Prix :12,50

 

Olga et le cri de la forêt

Olga a 8 ans. Elle a déjà connu six déménagements. Le dernier l’a conduite dans une maison biscornue, flanquée de multiples tourelles.

Elle entreprend d’arracher le papier peint de sa nouvelle chambre, pour la rafraîchir, et découvre une toute petite porte fermée à clé.

De l’autre côté, quelqu’un cherche à communiquer. Qui est-ce ?

Un autre mystère survient : les parents d’Olga, partis se promener dans le bois voisin, ne donnent plus signe de vie.

« Olga n’entend rien. Ce handicap va jouer un rôle déterminant dans l’intrigue (je ne dis pas pourquoi, évidemment). Pourtant, Laure l’évoque toujours avec beaucoup de pudeur, sans insister … À aucun moment, ce n’est le sujet du roman. » ( P’tits cannibales lecteurs)

« Laure Monloubou nous propose une histoire extrêmement originale (plus proche du conte que du roman classique) … Ici, on va de mystère en mystère … et on a du mal à poser le roman tant qu’on ne l’a pas terminé. » (Gabriel de La Mare aux mots – https://lamareauxmots.com/des-betises-et-un-mystere/)

« Avec beaucoup de tendresse et de fantaisie, Laure Monloubou nous emmène dans le monde singulier d’Olga. En effet, c’est en filigrane que l’on apprend que la jeune héroïne est plongée dans le monde du silence depuis sa naissance…
Laure Monloubou évoque à nouveau la différence, et la force qu’elle renferme. » (Céline – Librairie À Titre d’Aile-Lyon)

Nous débarquons dans la vie d’Olga, une jeune fille de 8 ans, qui déménage pour la sixième fois. Elle arrive dans une maison impressionnante, pleine de fenêtre et de tourelles .

En détapissant sa chambre, elle découvre une mini porte fermée à clé .

 

 

Elle garde ceci secret, et tente par tous les moyens de découvrir ce qu’il y a derrière .

Il y avait bien quelque chose derrière cette porte, elle trouva une toute minuscule enveloppe avec un point d’interrogation, elle en sortit un petit bout de papier sur lequel il y avait des dessins. Quelqu’un cherchait à communiquer avec elle .

Elle comprit au bout d’un moment que la clé se trouvait dans un des tiroirs de son bureau .

Une petit homme sortit de là, mais ils ne se comprenaient pas, ils communiquèrent avec le dessin.

 

 

La petite fille est désespérée car le même soir, ses parents sont sortis se balader en forêt et ne sont pas rentrés.

Le gnôme les guide vers la forêt, elle et son chat.

 

 

Sur le chemin, Olga découvrit toute l’histoire du lutin, et comment il s’est retrouvé coincé derrière cette porte .

 

 

C’est alors qu’ils retrouvèrent les parents d’Olga transformés en statue .

Qu’avait-elle de plus que les autres? Pourquoi ne se transformait-elle pas en statue .

C’est une aventure passionnante faite de rebondissements qui pourra peut-être faire réfléchir les jeunes sur les fait de savoir apprécier ce qu’on a .

 

Prix : 13,90

Format : 14 cm x 20.5 cm

 

 

La nuit des géographes

 

Une même passion réunit Lisa, Thomas et Idriss : la géographie.

Pour réaliser leur rêve de voyages et de découvertes, ils partent explorer un territoire dont ils ignorent presque tout, la nuit. Mais, une rencontre impromptue va les bouleverser et chambouler leur plan. Ils reviendront de leur expédition transformés et soudés par une solide amitié.

« Une histoire bien écrite, réaliste, tout en retenue et en émotion, qui donne matière à réflexion ! » (Opalivres)

« Solidarité, altruisme, empathie, amitié, courage, voilà un roman qui véhicule de belles valeurs. » (Petite Fleur Loves Books)

« Ce roman de Gilles Baum est sublimement écrit. Le texte est fluide et le découpage en chapitres nous permet à peine de respirer tant le lecteur est happé par le souci de suivre les enfants dans leurs découvertes. » (La Cliothèque)

« Ce court roman est bien rythmé. Il met en avant, en plus de la géographie (on appréciera les quelques questions/réponses sur ce thème), les amitiés naissantes et surtout la compassion, l’altruisme, la solidarité. Des valeurs bien amenées par la plume fluide et touchante de Gilles Baum.
Une jolie découverte.
»
(Nantes Livres Jeunes)

 

“Quelle est la capitale de la Mongo ? “

C’est la question que pose Mr Melvil à ses élèves .

Et cette fois, ce n’est pas Thomas ou Idriss qui trouvent la réponse .

“Oulan-Bator ! “

 

 

C’est la petite nouvelle qui trouve et remporte de défi de l’enseignant .

Thomas est en colère, le géographe de la classe, c’est lui, avec son ami Idriss !

Cet ouvrage est très plaisant à faire découvrir aux enfants à partir de 8 ans .

On découvre en effet, 2 enfants complètement passionnés de géographie, qui n’auraient souhaité qu’une chose, être nés quelques siècles plus tôt, et à envier Marco Polo, Vasco de Gama, ou encore Magellan .

 

 

C’est aussi une façon de montrer aux lecteurs que même dès le plus jeune âge, on peut être passionner par un domaine .

Que ce soit la géographie, ou une autre matière, c’est un bel initiateur à développer la curiosité dans le bon sens .

C’est Thomas qui parle le long du récit entrecoupé de dialogues, et on doit avouer qu’il le fait avec beaucoup d’humour . C’est attendrissant de voir cette belle relation de bienveillance qu’ils ont avec leur professeur .

J’ai pris beaucoup de plaisir à le lire avant de le proposer à mon fils.

Pour finir, il va, en plus apprendre quelques jolies leçons de géographie qui passeront tout en douceur.

 

Prix du roman DANIELLE GRONDEIN 2020

Actuellement en lice pour le PRIX RENAUDOT DES BENJAMINS 2021

120 pages

Format : 14 cm x 20.5 cm

 

Prix : 11,50

 

Un grand merci aux éditions Amaterra pour leur confiance .